Des scientifiques partiellement financés au titre du septième programme-cadre de l’UE ont identifié des variantes de l’ADN (acide désoxyribonucléique) humain qui renforcent la puissance de prévision d’un test utilisé pour mesurer l’antigène prostatique spécifique (APS), une protéine produite par des cellules normales de la prostate qui sont élevées en cas de cancer.

Les résultats ont été publiés dans la revue Science Translational Medicine.
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