Une étude à financement européen a révélé que les protéines malades sont l’élément perturbateur de la maladie de Parkinson et se déplaceraient lentement entre les cellules, déclenchant ainsi la destruction des nouvelles cellules hôtes. Les chercheurs pensent que la découverte pourrait mener à de nouvelles stratégies thérapeutiques pour le traitement des maladies neurodégénératives.

Présentée dans la revue Journal of Clinical Investigation, la recherche était partiellement financée par le projet PROSPECTS («Proteomics specification in time and space»), qui a reçu près de 12 millions d’euros au titre du septième programme-cadre (7e PC) de l’UE.
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