Grâce à une étude coordonnée par l’Institut Italien de Technologie de Gênes, en collaboration avec l’Institut national de la santé mental de Bethesda, on entrevoit de nouvelles perspectives dans les soins apportés aux patients atteints de maladies psychiatriques.

L’étude publiée sur la revue Learning and Memory, met en évidence les effets d’une protéine sur le cerveau féminin, lorsque celle-ci se trouve en excès.
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