Une étude espagnole dans laquelle ont été impliqués 25 hôpitaux publics et 4140 personnes a permis d’identifier un nouveau facteur de risque essentiel d’infarctus : la lipoprotéine-a.

L’étude a concerné dans un premier temps les personnes souffrant d’une maladie héréditaire appelée hypercholestérolémie familiale, qui touche environ 100.000 personnes en Espagne, et constitue l’un des principaux facteurs génétiques d’infarctus.
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