Nonobstant les précautions d’usage en la matière, il existe, comme on l’a déjà abondamment indiqué en ces pages, une forte présomption pour que l’émergence de CRISPR constitue une révolution d’une ampleur récemment inégalée dans le domaine de la recherche biomédicale, si l’on en juge par des indicateurs aussi divers que l’évolution du nombre de publications,

le nombre de projets de recherche déposés, l’existence d’un compte Twitter dédié ou l’étendue des champs applicatifs putatifs ouverts (de la résistance à l’oïdium à l’éradication du HIV-1 et du screening métastatique à la –pour le moins polémique- modification génétique des embryons humains, voire même des usages au-delà du gene editing).
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