Une équipe de recherche financée par l’UE a découvert que les vaisseaux sanguins et les muscles du coeur peuvent réguler l’absorption d’acides gras provenant de notre régime alimentaire, et est parvenue à déterminer comment cela se produisait. Les résultats, publiés dans la revue Nature, pourraient ouvrir la voie à de nouvelles formes de traitement contre l’accumulation des graisses dans les muscles, qui peut augmenter les risques de développer un diabète de type 2 et des maladies cardiovasculaires.
Cette étude s’inscrit dans le cadre du projet LYMPHANGIOGENOMICS («Genome-wide discovery and functional analysis of novel genes in lymphangiogenesis»), financé par l’UE à hauteur de 9 millions d’euros au titre du domaine thématique «Sciences de la vie, génomique et biotechnologie pour la santé» du sixième programme-cadre (6e PC).
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