Des scientifiques aux États-Unis ont compris la façon dont les champignons parvenaient à réduire le frottement de leurs spores pour les répandre le plus loin possible. Ils expliquent que leurs découvertes aideraient les chercheurs à trouver de meilleurs moyens de contrôler l’expansion de pathogènes fongiques tels que le genre Sclerotinia qui provoque de nombreuses maladies dans les récoltes (les tournesols et le soja) et coûtent des millions d’euros aux exploitants agricoles chaque année.
Leur étude a été partiellement financée par l’UE dans le cadre d’une subvention Marie Curie d’une valeur de 18 000 euros au titre du septième programme-cadre (7e PC). Les résultats ont été publiés en ligne dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS).
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