A Florence, les projecteurs sont tournés vers le rôle joué par l’inositol, la molécule de la fertilité. De nouvelles études éclaircissent le rôle et le mécanisme d’action de cette molécule pour le soin des perturbations endocrino-métaboliques chez la femme.

Les études dans ce domaines ont montré que la moitié des patientes à qui on administre de l’inositol recommencent à ovuler après environ 1 mois, 88% retrouvent un cycle menstruel en trois mois, 7 femmes sur 10 retrouvent un cycle menstruel régulier et 55% tombent enceintes spontanément.
lire la suite sur le Bulletin de veille Scientifique et Technologique d’Italie