Quelques années après sa découverte, la technique de génie génétique CRISPR-Cas 9, adaptée du système immunitaire de bactéries, et qui permet de modifier de manière précise le génome de nombreux organismes, a révolutionné la biologie.

Les chercheurs tentent depuis d’optimiser cette technique pour ses différentes applications. Des chercheurs de l’institut Max Planck de recherche sur les maladies infectieuses, de l’université d’Umeå en Suède et du centre Helmholtz de recherche sur les maladies infectieuses, dont l’équipe d’Emmanuelle Charpentier, ont découvert un mécanisme de défense immunitaire de certaines bactéries encore plus simple que CRISPR-Cas9 : CRISPR-Cpf1.
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