Les essais de substances potentiellement toxiques sans expérimentations animales pourraient sembler présenter un intérêt uniquement pour les défenseurs des droits des animaux. Mais elle est aujourd’hui partagée par de nombreux acteurs de l’industrie, par les décideurs politiques et les consommateurs.

Le vent souffle dans la bonne direction. L’UE a prononcé, en mars dernier, l’interdiction totale de commercialiser des produits cosmétiques et d’hygiène testés sur des animaux et les modèles assistés par ordinateur sont de plus en plus considérés comme une alternative viable à l’expérimentation animale.
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