Une étude soutenue par l’UE s’est appuyée sur plus de 1 000 lignées cellulaires cancéreuses pour identifier des biomarqueurs épigénétiques sensibles aux médicaments administrés pour lutter contre la maladie.

Malgré l’attention considérable accordée à la recherche dans ce domaine au cours des dernières décennies, le cancer reste l’une des principales causes de décès dans le monde, avec près de 10 millions de morts par an. Malgré ces statistiques, les chercheurs continuent d’étudier les causes, la progression, les méthodes de détection et les différents traitements des cancers.

Ces dernières années, les scientifiques se sont de plus en plus intéressés aux biomarqueurs épigénétiques. Comme l’indique un article publié sur le site «News-Medical.net», cela a conduit à la disponibilité croissante de tests diagnostiques pour la méthylation de l’ADN. Cependant, malgré les efforts soutenus déployés pour établir le profil de méthylation de l’ADN des patients atteints de cancer, il n’existe pas encore suffisamment de biomarqueurs épigénétiques pour être en mesure de prédire si un traitement sera efficace ou non.

Des chercheurs, soutenus par le projet COMBAT-RES, lui-même financé par l’UE, ont cherché à combler cette lacune. Leur étude a été publiée dans la revue «Communications Biology»…

La suite sur Cordis