Des scientifiques de l’Université McMaster mis en évidence qu’un variant du gène FTO, précédemment identifié comme étant impliqué dans l’obésité, est associé à une réduction de huit pour cent du risque de dépression sévère.

D’après les auteurs, cette proportion reste modeste et n’apportera pas de grosse différence dans le traitement quotidien des patients, mais cette découverte a permis de révéler une piste pour une nouvelle base moléculaire de la dépression et de mettre en évidence l’importance potentielle des gènes de prédisposition à l’obésité dans cette pathologie.
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