Le professeur Jamie Timmons, du projet financé par l’UE METAPREDICT, parle du rapport entre l’activité physique et la sensibilité à l’insuline et les mécanismes génétiques qui indiquent que l’exercice physique ne fonctionne pas nécessairement chez tout le monde.

L’activité physique est une règle d’or de la prévention contre le diabète, mais son efficacité peut varier d’une personne à l’autre. En plus de clarifier les mécanismes génétiques à l’origine de ces différences, les résultats du projet METAPREDICT offrent les prémices des futures mesures de prévention contre le diabète: un programme mieux adapté à notre composition moléculaire.
Depuis longtemps, les associations sur le diabète du monde entier soulignent, à juste titre, l’importance de l’activité physique comme mesure de prévention contre le diabète. Les avantages sont variés et incluent notamment une meilleure forme physique, un taux lipidique amélioré, une meilleure glycémie, la réduction du risque de maladies cardiovasculaires, une adiposité améliorée et le renforcement du bien-être physiologique. Mais ces associations insistent également sur le fait que l’activité physique n’est pas sans risque et qu’elle devrait être uniquement envisagée lorsque les avantages sont plus importants que les risques.

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