Une étude financée par l’UE et publiée par la revue Cell
Metabolism, révèle qu’une forme d’un gène qui protège les personnes
minces contre l’obésité et le diabète, a l’effet inverse chez ceux
qui consomment beaucoup de lipides. Cette découverte pourrait
conduire à des outils de diagnostic permettant de proposer des
thérapies et des conseils de style de vie adaptés en fonction du
génotype de chaque individu.
Ces travaux ont été en parti soutenus par l’UE, via le projet
Eugene2 (European network on functional genomics of type 2
diabetes), financé dans le cadre du domaine thématique «Sciences de
la vie, génomique et biotechnologie pour la santé» du sixième
programme-cadre (6e PC)…
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