Une collaboration scientifique internationale, dont le leader est l’Université de Toronto, a fait une nouvelle découverte concernant le mécanisme qui permet aux cellules souches de « décider » en quels types de cellules différentiées elles vont se transformer.

Cette avancée permet d’entrevoir de nouvelles perspectives dans le domaine de la médecine régénérative telle que les thérapies cellulaires, voire le traitement du cancer.
Les cellules souches, telles que les souches pluripotentes induites (iPS) et les cellules souches embryonnaires (cellules SE), sont des cellules indifférenciées qui ont la capacité unique de se diviser et de générer une descendance différenciée spécialisée. Le Professeur William Stanford, Chaire de Recherche du Canada en Bio-ingénierie sur les Cellules Souches et la Génomique Fonctionnelle à l’Université de Toronto, et ses collaborateurs ont découvert qu’une protéine appelée Polycomb-like 2 (PCL2), décelée à l’origine dans les mouches à fruits, joue un rôle critique sur la spécialisation des cellules SE chez la souris.
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