Une équipe de l’Université de Vienne et de l’Institut suisse de recherche sur les matériaux réussit à tracer le comportement d’un perturbateur endocrinien issu de l’alimentation dans l’utérus.
La contamination par les perturbateurs endocriniens issus de l’environnement pendant la période de grossesse est une préoccupation importante pour la médecine. Les fœtus humains sont en effet très sensibles à ces éléments.

Une équipe dirigée par Benedikt Warth de la Faculté de chimie de l’Université de Vienne et par Tina Bürki de l’Institut suisse de recherche sur les matériaux (Empa) a pu démontrer pour la première fois comment le xénoestrogène zéaralénone se répand dans l’utérus.
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