Grâce à des travaux européens qui ont identifié les bactéries ou champignons pathogènes présents dans les plaies des victimes de brûlures et qui peuvent insidieusement provoquer des infections et retarder le processus de guérison, les grands brûlés ont aujourd’hui l’espoir d’un rétablissement plus rapide.

L’UE a apporté son soutien à la recherche dans le cadre du projet WOUNDMONITOR («Mobile system for non-invasive wound state monitoring»), financé à hauteur de 1,67 million d’euros au titre du domaine thématique «Technologies de la société de l’information» (TSI) du sixième programme-cadre.
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