D’après les estimations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les lésions graves provoquées par les incendies entraînent chaque année plus de 32 000 décès. Les experts restent convaincus que la majorité de ces décès pourraient être évités par la chirurgie. Mais les interventions chirurgicales se compliquent lorsqu’il ne reste pas suffisamment de peau à greffer sur les brûlures de la victime.

La nouvelle peau doit se développer sur les autres cellules épidermiques du patient, un processus long qui peut mener à la déshydratation et l’infection. Des scientifiques ont constaté qu’ils pouvaient utiliser les matériaux polymériques, connus pour leurs diverses propriétés et que l’on retrouve dans le plastique, les biopolymères et les protéines, pour développer et multiplier les cellules humaines; cependant, les résultats n’ont pas été très concluants.
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