Une équipe dirigée par des chercheurs du Conseil Supérieur de Recherches Scientifiques (CSIC) a découvert que, dans le cas de la maladie d’Alzheimer, la plasticité synaptique était altérée par une protéine appelée PTEN, connue pour sa fonction de « suppresseur de tumeur ».

Les neurones communiquent entre eux via des connexions synaptiques dynamiques, qui se modulent en fonction de l’activité ou de l’expérience des neurones.
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